Pourquoi? Quand consulter un(e) psychanalyste?

Parce ce qu’en ce moment,

vous vivez quelque chose de difficile , de douloureux. Un évènement est venu bousculer votre vie; plus rien ne va de soi et vous ne parvenez pas à en parler à qui que ce soit. Ça bouillonne, ça monte, ça occupe toutes vos pensées, ça va exploser ???

Parce que depuis quelques temps,

vous dormez de moins en moins, ou de plus en plus, vous avez moins d’énergie, ou vous n’arrivez jamais à vous poser, vous êtes triste, vous vous sentez pris(e) en étau,  et ce n’est pas la première fois que ça vous arrive. Vous ne comprenez pas parce que vous avez l’impression que  » vous avez tout pour être heureux(se) »???

Parce que depuis longtemps 

quelque chose vous ronge, vous envahit, quelque chose de non identifié, de mal identifié. Vous avez cru pourtant avoir identifié et résolu et compris mais rien n’a changé. Vous vous êtes alors dit que ça allait passer, que vous alliez surmonter???

Et ces malaises ces souffrances ont envahi différentes sphères de votre vie; votre couple, votre famille, votre travail, vos loisirs…

Vous avez peut-être déjà essayé de nombreux types de soins !!!!

Ils vous ont sans doute aidé(e) ponctuellement

mais au fond, ça ne va pas mieux

ou ça revient toujours, c’est même de pire en pire ???

Quand consulter?

Vous vous êtes reconnu(e) dans tous ces mots empruntés à des patients?

Et bien n’attendez plus, c’est le moment!!! Laissez derrière vous toutes les raisons qui vous ont fait hésiter à consulter un(e) psychanalyste pour vous même, votre couple, vos enfants.

Le/La psychanalyste vous accompagnera dans la compréhension de ce qui vous entrave  pour que vous  trouviez ou que vous retrouviez la fluidité, l’énergie,  la tranquillité,  l’apaisement, plus de liberté.

Une séance est une création; elle n’est pas écrite à l’avance; vous direz vos pensées comme elles viennent,  vous direz ce qui vous passe par la tête sans avoir préparé votre discours, cherché à l’organiser, à le rendre cohérent.

« La psychanalyse n’est pas qu’un exercice intellectuel comme on le pense trop souvent, ni un simple réconfort. Elle supprime des symptômes handicapants, elle produit un changement profond de la personnalité, une transformation du regard que le patient porte sur sa souffrance, sur lui même. A la fin d’une analyse, il s’aime différemment et se sent suffisamment sûr de lui pour ne plus avoir peur de l’autre. »(J.D.Nasio).